Père Noël à fabriquer
Cette année, pas besoin d'acheter de décorations. Joignez l'utile à l'agréable, en décorant la chambre des enfants aux couleurs de Noël tout en les initiant aux joies des activités manuelles. Fabriquez avec vos enfants des décorations pour Noël. Voici un tableau de Noël à effigie du Père-Noël que nous aimons tant ! Accroche-le sur un mur pour décorer ta chambre ou ta maison, il veillera sur toi jusqu’au grand soir du Réveillon ! Ce qu’il te faut : - un carton format A4 - du papier doré métallisé - de la feutrine (rouge, blanche, verte et d’autres couleurs de ton choix) - du coton - des feutres ou crayons de couleur - de la pâte à modeler durcissante à l’air ou bien des perles rouges et noire - de la peinture - des ciseaux - de la colle - du scotch 1) Découpe un morceau de papier doré plus grand que le carton, puis recouvre celui-ci en scotchant le papier qui dépasse sur l’envers du carton. 2) Imprimer 2 exemplaires du patron du visage du Père-Noël (document joint) . Découpe-les. Colle l’un d’eux au centre du carton, et utilise l’autre comme patron. Pour cela découpe les différentes parties du dessin (bonnet, pompon etc...) puis reporte-les sur la feutrine en traçant les contours au crayon. Il ne te reste plus qu’à découper les dessins dans la feutrine puis à les coller sur le dessin. Fais ainsi pour toutes les parties du dessin que tu souhaites recouvrir de feutrine. 3) Colorie toutes les parties du dessin que tu n’as pas recouvert de feutrine, sauf la barbe. 4) Prends le coton puis colle-le sur la barbe et le contour du visage. 5) Découpe des feuilles de houx dans la feutrine verte puis colle-les en cercle 3 par 3 sur le carton. 6) Si tu as des perles, colle deux perles noires sur les yeux du Père-Noël, puis 3 perles rouges au centre de chaque branche de houx. Si tu n’as pas de perle, réalise 12 petites boules de pâte à modeler. Une fois qu’elles sont bien sèches, peints 10 boules en rouge et 2 boules en noir, puis colle-les. www.jedessine.com
Hypoglycémie
Apport insuffisant de glucose, le sucre qui fait fonctionner les cellules. Cause : L’hypoglycémie est plus fréquente chez les bébés prématurés ou, au contraire, de poids élevé. Pour le premier, les premiers, le stock de glucose dans le foie est faible, pour les seconds, la consommation cellulaire est trop importante. Symptômes : Il n’y en a pas, à moins que l’hypoglycémie soit vraiment forte. Dans ces conditions extrêmes, l’état de léthargie peut aller jusqu’au coma. Indication : On a dû vous conseiller à la maternité de nourrir votre bébé toutes les 3 ou 4 heures les premiers jours. Un médecin doit surveiller son taux de glycémie afin qu’il n’y ait pas de danger.
La positivité pendant la grossesse
Nous savions déjà que le stress pendant la grossesse était néfaste au foetus. Une étude récente met en évidence le rôle de la positivité sur le développement des télomères de l'enfant à naître. Pour les chercheurs de l’Institut médical de psychologie de Berlin les émotions positives de la mère durant la grossesse augmenteraient la longueur des télomères du fœtus. Les télomères présents à l'extrémité des séquences d'ADN seraient plus longs, plus protecteurs et s'useraient moins vite. La longueur des télomères de 656 nouveau-nés ont été mesurés par le biais des cellules de leur cordon ombilical à la naissance. En amont, les chercheurs avaient évalué les émotions maternelles pendant la grossesse : leur anxiété, leur stress comme leur bien-être et leur soutien social. Les télomères jouent un rôle important en matière de vieillissement cellulaire mais également dans diverses pathologies physiques et mentales, engendrant un risque de mortalité plus élevé. Selon l'étude, plus la maman est positive et résiliente pendant sa grossesse, plus les télomères de son enfant sont longs. Les foetus qui baigneraient dans des une atmosphère positive, aimante et soutenante auraient plus de chances de vivre en meilleure santé et plus longtemps.Les chercheurs avaient déjà démontré que le stress diminue la longueur des télomères des nouveau-nés ; ils établissent à présent l’effet inverse, à savoir que la résilience et la positivité l’allongent. La « positivité » rallongerait les télomères par le biais la diminution de sécrétion du cortisol, l'hormone du stress qui, elle, réduirait la taille des télomères. Cette découverte plaide en faveur d’un soutien familial et psychologique des mères durant leur grossesse.
Elle se masturbe à 2 ans
Une amie a une fille de 2 ans et demi qui se masturbe et elle ne sait pas comment réagir. En effet avant cela ne se passait qu’à la maison mais maintenant elle le fait à la crèche. Je voudrais savoir que dire à mon amie et surtout ce qu’elle pourrait mettre en place pour sa fille. Véronique Il n’est pas rare qu’un enfant de l’âge de cette petite fille se masturbe. L’enfant, curieux, explore son corps et il découvre vite que ces caresses lui procurent un plaisir tout particulier. Si bien qu’il recommence. Ce comportement est normal, tout comme ne pas se masturber. Même si ce comportement gêne les adultes présents, il est souhaitable qu’ils ne réagissent pas avec excès, en faisant honte ou en ridiculisant l’enfant. Conseillez à votre amie d’en parler avec sa fille : il faut lui expliquer qu’elle ne peut faire cela que lorsqu’elle est seule, de préférence dans sa chambre, car cela relève de l’intimité. À d’autres moments, on peut l’inciter à cesser sa pratique en l’attirant dans une activité ludique, par exemple. Il faudrait s’inquiéter davantage et je conseillerais à votre amie de consulter une psychologue, si ces moments de masturbation devenaient fréquents (plusieurs fois par jour), s’ils prenaient une place telle que l’enfant délaisse ses activités normales et si cette activité était si importante pour l’enfant qu’elle refuse de s’en laisser distraire par une conversation ou un jeu. Anne Bacus
Ovulation : déterminer le jour de l'ovulation de votre cycle
Pour tomber enceinte, pas de mystère, un ovule doit rencontrer un spermatozoïde. Pour optimiser ses chances d'avoir un bébé, la fécondation doit se faire vers le 14e jour du cycle pendant l'ovulation. Comment savoir quand vous ovulez ? Quand est-ce que j'ovule ? Sur le principe, rien n'est compliqué. Le cycle menstruel dure 28 jours. Il débute le premier jour des règles, tandis que l'ovulation a lieu au milieu du cycle, soit théoriquement au 14e jour. Mais dans la réalité, c'est souvent plus compliqué. Chaque femme est unique et la durée du cycle peut varier, certaines ayant des cycles de 25 jours, d'autres de 34. Sans oublier que certains évènements de la vie peuvent avancer ou reculer ce moment fatidique de l'ovulation, comme le stress généré par une grossesse qui ne vient pas. Le meilleur moyen de mettre toutes les chances de son côté est de déterminer soi-même sa propre date d'ovulation. A noter que pour certaines femmes, une douleur dans le bas-ventre suffit à les alerter de la bonne période. Sinon, il faut savoir que la fécondation est possible le jour J de l'ovulation bien sûr, mais aussi 2 à 3 jours avant la date de l'ovulation (rarement après). La courbe de température pour déterminer la date d'ovulation Elle permet d'indiquer, a fortiori, la date d'ovulation, et donc de prévoir la date probable d'ovulation du prochain cycle. Pour réaliser cette courbe, il faut mesurer sa température, tous les matins, au réveil, à jeun et avant même de s'être levée, à partir du premier jour du cycle (premier jour des règles). Avant l'ovulation, la température corporelle est en dessous de 37°C (souvent 36,1°C à 36,7°C). Au moment de l'ovulation, la température augmente de quelques dixièmes de degrés, souvent légèrement au-dessus de 37°C et reste élevée jusqu'à la fin du cycle. Si l'augmentation est brutale (du jour au lendemain), le jour de l'ovulation est facile à déterminer : c'était la veille de l'augmentation de température. Si elle se fait progressivement, en deux ou trois jours, on considère que l'ovulation a eu lieu le jour où la température a commencé à monter. Dans tous les cas, lorsque la hausse de température est constatée, il est généralement trop tard pour une fécondation. En revanche, il est fort probable que ce schéma se reproduise au cycle suivant. Les tests d'ovulation Un test d'ovulation en laboratoire d'analyses médicales permet d'indiquer 24 à 48 heures à l'avance la date d'ovulation. Le test repose sur le dosage de l'hormone lutéinisante (LH), hormone produite tout au long du cycle, mais dont la sécrétion augmente dans les 24 à 38 heures avant l'ovulation. Le dosage se fait à partir d'un échantillon d'urines (on utilise les premières urines du matin car elles sont plus concentrées en hormones). On peut aussi réaliser ces tests soi-même, à domicile, en achetant un kit en pharmacie. Si malgré tout bébé ne vient pas, n'attendez pas trop longtemps pour consulter. Les gynécologues et obstétriciens recommandent aux couples de consulter après un an de tentatives infructueuses, voire 6 mois en cas d'antécédents ou de troubles gynécologiques, ou pour les femmes de plus de 35 ans. À lire : Attendre bébé, Pr René Frydman, Hachette. Isabelle Eustache pour notre partenaire e-sante .
Râble de lapin en sushis
Pour 1 portion : - 1 râble de lapin avec sa panoufle - 1 cuillère à soupe bombée de riz thaï très cuit - le jus d’1 citron vert - huile tournesol - sel Dès 18 mois. Demander au boucher-volailler de désosser le râble de lapin en préservant la panoufle, la partie fine attachée au râble. Sur un morceau de film étirable très légèrement huilé, déposer le râble de lapin et la panoufle étalée. Saler très légèrement, mettre le riz à la jonction du râble et de la panoufle et arroser de jus de citron. Rouler puis former un petit boudin avec le film étirable. Enrouler ensuite dans de l’aluminium. Enfournez le râble ainsi développé et cuire pendant 15 minutes. à 200°C. Laisser refroidir avant de retirer les 2 papiers et de couper d’épais tronçons de râble avec un couteau bien aiguisé. Les râbles de lapin préparés ainsi se marient très bien avec la crème de courgettes à l’orange. [caption id="attachment_1284" align="aligncenter" width="145"] Et si on mettait les petits pots dans les grands ? Recettes créatives pour petits bouts d’chou de 6 mois à 3 ans. Collection Grain de Sel Tana Editions Textes : Sonia Ezgulian. Photographies : Emmanuelle Auger[/caption]
Saumon
Sur un sushi ou en sauce, on attribue de nombreuses vertus au saumon. Comment préserver les qualités du saumon ? Quelques informations sur le saumon. C’est un poisson gras qui protège le système cardio-vasculaire grâce à sa riche teneur en oméga 3 (acides gras) tout comme le thon et le hareng. Il apporte du fer, du phosphore, des vitamines notamment A et D, du magnésium utile à la fortification des os, au bon fonctionnement du système nerveux et du rythme cardiaque. 100 g de saumon = 10 g de lipides, 20 g de protéines, 180 kcal. Conservation du saumon Bien emballé, vous le garderez vingt-quatre heures au réfrigérateur et un mois dans le congélateur. Conseils sur le saumon Achetez de préférence votre saumon le jour où vous souhaitez le déguster. Veillez à ce qu’il soit en bon état et ne dégage pas d’odeur forte. À lire Leçon de Saumon, Les éditions culinaires, 9,90 euros.
Aphtes
Les aphtes sont des petites lésions transparentes cerclées de rouge à l’intérieur de la bouche, sur la langue, les lèvres et les joues. Causes : Les causes de l’apparition d’un aphte sont souvent inconnues. On peut trouver des raisons nutritionnelles ou psychologiques. Les lésions peuvent accompagner une autre maladie. Traitement : Il n’existe pas vraiment de traitement efficace. Cependant, pour éviter d’irriter, mieux vaut oublier pendant un temps la moutarde, le vinaigre, le gruyère, les tomates et la cannelle.
Symbolique
La fonction symbolique définie par Lacan désigne le système de représentation fondé sur le langage. Il s’attache particulièrement aux signifiants qui déterminent le sujet. Cette fonction touche le conscient comme l’inconscient.
Carl Rogers : La voie de l’authenticité
« J'ai souvent l'impression que notre système d'éducation vise avant tout à préparer les individus à vivre isolés dans des cages. » « La compréhension comporte un risque. Si je me permets de comprendre vraiment une autre personne, il se pourrait que cette compréhension me fasse changer. Or, nous avons tous peur du changement. » « Plus paradoxal, tu meurs »… Voilà peut-être une façon juste, sinon légitime de débuter cet article sur Carl Rogers. Prix Nobel de la paix en 1985, Rogers est considéré comme la personnalité la plus influente du monde de la psy après Freud mais son nom et ses œuvres restent globalement méconnus du grand public. Penseur rigoureux, il est sans cesse préoccupé par la question de « l’objectivité » mais développe une approche centrée sur la personne en accordant à la subjectivité du « client », une place essentielle. Amateur de débats, il est le fondateur d’implacables théories mais fustige dans le même temps les individus qui se coupent trop de leur ressenti et qui ne sont que dans le raisonnement. Il est issu d’une famille Chrétienne ultra-conservatrice mais il fait de la liberté la clef de voûte de « sa philosophie » sans jamais témoigner un seul instant du cheminement intérieur douloureux pour se défaire de l’emprise de son passé. Bref, Rogers est un homme qui suscite de nombreuses interrogations… mais lui-même n’affirmait-il pas que « la richesse d’une vie se mesure aussi à l’aune de ses contradictions ? » Anti-dogmatisme Carl Rogers est né en 1902 dans l’Illinois. Conformément à la volonté de ses parents très pratiquants, il consacrera toute une partie de sa jeunesse à Dieu. Ses études précoces de théologie le conduiront à entrer en 1924 au séminaire de théologie de l’Union (Union Theological Seminary). Objectif officiel : devenir Pasteur. Projets officieux : se spécialiser dans les domaines de la psychologie et de la pédagogie, loin de toute doctrine spécifique. « Je ne crois qu’en l’être humain et en sa vie dans ce qu’elle a de meilleurs », dira-t-il. En 1925, contre l’avis de sa famille, il rejoint donc le centre de formation pédagogique de l’Université de Colombia. Six ans plus tard, il en ressort avec un doctorat de psychologie clinique en poche..Commence alors une longue quête humaniste où la pratique de la psychothérapie s’apparente à un acte de foi et d’amour envers les hommes. Son action lui vaudra d’ailleurs d’être sollicité pour intervenir à plusieurs reprises dans des situations de tension et de conflits internationaux… Originalité Père fondateur de l’approche centrée sur la personne (l’ACP), une thérapie qui se focalise sur l’individu bien plus que sur ses symptômes, Rogers estime que le travail d’un thérapeute n’est pas d’agir en expert qui comprend le problème et décide de la façon dont il doit être résolu. Mais de libérer le potentiel que possède le patient (que Rogers nomme aussi « client ») afin que ce dernier apprenne à s’en libérer lui-même. « C’est le client lui-même qui sait ce dont il souffre, écrira-t-il, dans quelle direction il faut chercher, ce que sont les problèmes cruciaux et les expériences qui ont été profondément refoulées. » Non-directivité Si pour lui l’homme est un sujet d’étude passionnant en ce sens que « son existence est un processus d’écoulement, de changement où rien n’est fixe », il s’intéresse également de très près à la question de l’éducation, domaine dans lequel ses théories feront couler beaucoup d’encre. À travers son concept de « non-directivité », qu’il développera dans son livre « la liberté pour apprendre », Rogers proposera un plan pour une révolution totale de l’éducation. À la notion d’autorité qui lui paraît « nuisible », il opposera celles d’écoute et de dialogue, « capables de procurer à l’enfant et à l’élève un épanouissement complet de sa personne ». Si sa pensée est à replacer dans le cadre antidogmatique très particulier des années 1970, elle n’en reste pas moins captivante et toujours d’actualité. Repères 1902 : Naissance à Chicago. 1919 : Commence des études agronomiques, à l'université du Wiscon. 1924 : Entre au séminaire de théologie de l’Union (Union Theological Seminary) à New York. 1926 : Entreprend une formation simultanée à la thérapie et à la pédagogie dans le Teacher's College (École normale) de l'université de Columbia. 1931 : Soutient sa thèse de psychologie sur la personnalité des enfants et la publie la même année. 1940 : Devient professeur à l’université de l’Ohio. 1942 : Publie La Relation d'aide et la Psychothérapie, livre qui deviendra un véritable best-seller. 1946 : Est nommé président de l'importante association de psychologie américaine (American Psychological Association). 1956 : Devient président de l'académie américaine de psychothérapeutes (American Academy Of Psychotherapists). De 1975 à 1986 : S’engage dans divers ateliers internationaux oeuvrant pour la paix, en Afrique du Sud, en Irlande du Nord, en Australie, au Brésil, en Espagne, en France, en Hollande, en Italie, en Pologne et en Suisse. 1987 : meurt d’une crise cardiaque en Californie à l’âge de 85 ans. A lire aussi : Carl Rogers et l'action éducative, Jean-Daniel Rohart, Charles Maccio, Chronique Sociale, 15, 50 euros. La psychothérapie centrée sur la personne : Approche de Carl Rogers, Bérénice Dartevelle, Bernet-Danilo, 27 euros. Carl Rogers, comment aider à grandir par une écoute appropriée, Philippe Meirieu, Eduation en questions, 22 euros.
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