Morue
Quelles sont les qualités nutritionnelles de la morue ? Comment la morue se conserve-t-elle ? Conseils sur la morue. Également appelée cabillaud dans bon nombre de pays. En France, on distingue la morue (poisson séché et salé) du cabillaud (frais). La morue est un poisson faible en graisse qui procure un nombre intéressant de vitamines B. Pour 100 g = 1 g de lipides, 27 g de protéines, 120 kcal. Les protéines assurent le développement des tissus (muscles, peau, os). La morue contient des acides gras de type oméga 3 bons pour le système cardio-vasculaire. Conservation de la morue Comme tous les poissons frais, il vaut mieux la consommer très rapidement (pas plus de deux jours au réfrigérateur). Plusieurs mois au congélateur. Conseils sur la morue La morue est riche en sodium. Pour la dessaler, passez-la sous l’eau courante ou dans plusieurs bains. L’huile de foie de morue a des vertus thérapeutiques (stimule le système immunitaire, lutte contre la calcification des artères, réchauffe le corps), pensez-y.
L'accouchement : éviter l’accouchement prématuré
Aucune femme enceinte n'est à l'abri d'un accouchement prématuré. Quelques règles simples permettent toutefois d'éviter une naissance trop précoce dangereuse pour bébé. Alors comment le garder au chaud le temps nécessaire ? Comment faire ce qu'il faut pour que votre bébé naisse en pleine forme ? Vous êtes tellement bien que vous en faites encore plus que d'habitude, malgré les remarques de votre entourage ! Vous êtes une sportive née, pas question d'arrêter, quoiqu'on vous dise ! Vous êtes un peu raplapla, normal quand on est enceinte, alors pas besoin de se reposer plus ! Vous avez eu quelques contractions, c'est assez classique après tout ! Votre col s'est modifié, faut-il vraiment rester couchée ? 15 à 20% des femmes enceintes sont concernés par une menace d'un accouchement prématuré. Cela se traduit par les contractions utérines ou des signes de maturation du col plus tôt que prévu, soit avant la 37e semaine d'aménorrhée. Après cette date, les médecins ne parlent plus de prématurité puisque la naissance et sans risque pour bébé. Pourquoi accouche-t-on trop tôt ? Des facteurs de risque existent. La menace d'accouchement prématuré touche plutôt les femmes d'une grande maigreur avant leur grossesse, celle qui fument beaucoup ou se droguent, celles qui ont moins de 18 ans ou plus de 40 ans, celles qui ont un bas niveau socio-économique. Des causes organiques sont également incriminées : une hypertrophie ou une malformation utérine, des traumatismes obstétricaux. De précédents accouchements prématurés ou tardifs peuvent également conduire à une surveillance plus étroite de la fin de grossesse. Les menaces d'accouchement prématuré peuvent également survenir à l'occasion d'une infection, d'un stress, d'une très grande fatigue. Ces facteurs de risque, connus et pris en compte, permettent de limiter les naissances prématurées. Quels sont les causes psychologiques ? On sait depuis plusieurs années qu'il existe un facteur psychologique aux accouchements prématurés. Mais comment le mental peut-il influencer l'ouverture du col ou les contractions ? Tout le monde connaît, les maladies psychosomatiques. Derrière des symptômes strictement médicaux, peut se cacher à une difficulté investir la grossesse. Pour de multiples raisons, certaines femmes supportent mal d'être enceinte ou pensent qu'elles ne sont pas capables de faire mûrir bébé dans leur ventre. Des traumatismes peuvent également expliquer une difficulté investir un enfant à naître. Prendre conscience des difficultés psychologiques rencontrées pendant la grossesse et se faire suivre si nécessaire peut éviter un accouchement précoce. Comment garder bébé plus longtemps ? Règle numéro un : écoutez-vous ! Vous êtes anxieuse, fatiguée, stressée, faites le nécessaire. Levez le pied ! Vous avez sommeil, dormez. Octroyer vous des moments de farniente, faites-vous masser par le futur papa. Si votre fatigue vous empêche de travailler correctement, parlez-en à votre médecin. Un état de fatigue excessif doit être signalé. Règle numéro deux : éviter de porter des charges lourdes ! Pendant une grossesse mieux vaut éviter de porter de gros paquets, cela peut faire bouger le col ou provoquer un décollement placentaire. Si vous avez déjà un aîné qui demande à être porté. Prenez le contre vous en position assise et faites-lui comprendre que dans votre état vous ne pouvez pas le porter debout cela vous ferait mal au dos. Soit dit en passant, en plus, c'est vrai ! Faites-vous aider ! Lors de la station debout, bébé pèse sur le col. Si certains résistent bien, d'autres ont du mal sous l'effet de cette pression et se raccourcissent. Alors, d'une manière générale éviter les stations debout prolongées, à moins d'avoir l'accord de votre médecin traitant est tout activité augmentant la pression sur le col de l'utérus. Passer l'aspirateur vigoureusement tous les jours sous prétexte que bébé doit arriver dans un environnement dénué de microbes, astiquer la maison du sol au plafond pour les mêmes raisons est donc fortement déconseillé. Pendant la grossesse, faites-vous aider, notamment par doudou, qui tout comme vous ne souhaite pas que bébé pointe son nez trop tôt. Ayez, autant que possible, recours aux services de livraison à domicile, notamment pour les courses. De nombreux magasins, livrent gratuitement au-delà d'une certaine somme, alors groupez vos achats ! Sans compter que sur ce point le futur papa sera soulagé. Mettez vos proches à contribution, notamment les futures mamies déjà si concernées par la prochaine naissance. Quand faut-il rester couchée ? Après la consultation mensuelle, votre médecin ou votre sage-femme vous annonce que votre col s'est modifié ou que vos contractions pourraient provoquer un travail précoce et vous conseillent l'alitement. Sachez, que ces recommandations ne se font jamais à la légère, écoutez les donc ! C'est sur, rester couchée n'est pas drôles tous les jours, alors profitez en pour lire les bouquins auquel vous n'avez pas encore eu le temps de vous attaquer, invitez vos copines à déjeuner en leur demandant de prévoir le repas, faites le classement des papiers, des photos, toutes les petites choses que vous n'avez pas le temps de faire habituellement. Détendez-vous, dormez, vous aurez bien besoin de ce repos emmagasiné pour affronter les nuits que bébé vous prépare.
Petits pots ou petits plats ?
Les petits pots sont-ils aussi bon pour bébé que nos petits plats maison ? Que valent les petits pots que l'on trouve dans le commerce pour la nutrition de bébé ? Petits pots vs. petits plats, points forts de chacun de ces choix. Les + des petits pots * Au début Lorsque le pédiatre demande d’introduire une ou deux cuillères à café, il est assez compliqué et dispendieux de mixer des aliments pour en obtenir une si petite quantité. * Sur le plan nutritionnel Les petits pots préparés avec des fruits ou des légumes fraîchement cueillis et mis sous vide à peine préparés apportent souvent plus de vitamines que des petits pots maison faits à base de légumes parfois moins frais. * Sur le plan pratique Finement broyés, ils sont très digestes pour les bébés. Ils offrent ensuite des solutions qui aideront bébé à s’adapter aux morceaux. Alors pas de scrupules à vous faire aider par des petits pots très bien conçus. Les + des petits plats * Sur le plan nutritif Pour que les apports soient équivalents à ceux des petits pots, les purées maison doivent être préparées à partir de légumes bien frais. Essayez de faire vos purées à partir de légumes fraîchement cueillis. * Sur le plan gustatif Préparés par maman ou papa, les repas maison sont bien plus goûteux pour bébé. Les parents peuvent y ajouter les saveurs de leur choix afin de varier les plaisirs et éveiller le goût de bébé. * Sur le plan économique Les petits pots sont incontestablement plus coûteux que les repas faits maison ! À lire Et si on mettait les petits pots dans les grands ? Recettes créatives de 6 mois à 3 ans, 12 euros, Tana éditions.
Salade de crevettes et mangue
Pour 4 personnes Temps de préparation : 10 mn Temps de cuisson : 0 mn Ingrédients : - 20 crevettes roses - 1 mangue bien mûre - 1 salade - plusieurs brins de coriandre - quelques noix de cajou - huile d'olive - 2 cuillères à soupe de chutney de mangue - 1 citron vert - 1 cuillère à café de gingembre - sel, poivre Ustensiles : - une poêle - un saladier Préparation : 1. Faire rapidement sauter les crevettes dans de l'huile d'olive bien chaude. 2. Peler la mangue et la détailler en petits morceaux. 3. Dans le saladier, préparer la sauce à base d'huile d'olive, sel, poivre, jus de citron, gingembre. Ajouter le chutney de mangue. Mélanger. 4. Ajouter la salade, les crevettes et la mangue. Parsemer de quelques noix de cajou et de coriandre fraîche. Une recette de FoodAvenue : www.foodavenue.fr FoodAvenue est un portail Internet dédiée la gastronomie et aux arts de la table. Les recettes ont toutes été réalisées et sont souvent illustrées. Vous y trouverez aussi de nombreux restaurants, des bonnes adresses, un lexique complet, des livres, des articles de fond ou encore des reportages.
Crumble à la polenta et ratatouille confite
Ingrédients : - 1kg de ratatouille - 2 cuillères à soupe (50g) de beurre ramolli - 2 cuillères à soupe de farine - 2 cuillères à soupe de polenta - 2 cuillères à soupe de parmesan râpé Cuire la ratatouille très longtemps, afin d’obtenir une consistance de compote ou de confit de légumes (les enfants n’aiment pas trop les morceaux). Mélangez du bout des doigts le beurre, la farine, la polenta et le parmesan. On obtient un mélange sablonneux que l’on place sur les légumes, dans un plat à four. Cuire à feu moyen (180°C) pendant 35 minutes jusqu’à ce que le crumble soit bien doré. NB : on trouve aujourd’hui dans le commerce de très bonnes ratatouilles surgelées qui se cuisent facilement et longtemps. On peut améliorer aux goûts des enfants, en ajoutant, au choix, concentré de tomate, olives, courgettes, herbes… [caption id="attachment_1268" align="aligncenter" width="145"] Petits plats gourmands pour mamans au bord de la crise de nerfs. 50 recettes zéro stress qui marchent vraiment avec les enfants. Collection Grain de Sel Tana Editions Textes: Aimée Langrée et Stéphanie de Turckheim Photographies : Raphaële Vidaling.[/caption]
Intoxication alimentaire : attention aux aliments toxiques ou souillés
L’intoxication alimentaire survient par l’ingestion d’un aliment toxique. Il peut être contaminé par des microbes ou par des produits chimiques. Eclairage sur l'intoxication alimentaire. Il y a intoxication alimentaire lorsqu'on ingère un aliment toxique mais aussi, parfois, alors même que l’aliment était sain à l’origine. Il a pu être souillé lors de manipulations culinaires par le matériel utilisé, des individus porteurs de germes ou encore par une mauvaise conservation. 1 - Comment reconnaît-on une intoxication alimentaire ? Le malade ressent de vives douleurs abdominales associées à des nausées, voire des vomissements. Puis assez vite se manifeste une diarrhée aiguë. Ces symptômes apparaissent le plus souvent entre douze et dix-huit heures après l’ingestion des aliments contaminés. Mais certaines infections comme l’intoxication aux staphylocoques peuvent se manifester dans l’heure qui suit l’absorption du repas. 2- Quels sont les aliments les plus souvent incriminés ? Les œufs ou les préparations à base d’œufs se trouvent souvent à la première place des aliments toxiques. Les fromages ou les laitages à base de lait cru, les champignons, les charcuteries et les coquillages sont également mis en cause. L’agent intoxicant le plus fréquemment responsable des intoxications alimentaires est la salmonelle. 3 - L’intoxication alimentaire est-elle toujours bénigne ? C’est le plus souvent une affection sans gravité qui guérira en quelques jours. Il existe toutefois une intoxication alimentaire très particulière : le botulisme. Les charcuteries et les conserves domestiques mal stérilisées sont susceptibles de contenir le microbe. Les conserves industrielles ne présentent en revanche aucun risque car elles sont portées à une température suffisamment élevée pour tuer tous les germes. Cette intoxication se caractérise par une sécheresse de la bouche, des troubles digestifs, visuels et des paralysies diffuses. Ces symptômes doivent faire consulter rapidement car cette intoxication peut être mortelle. Veillez donc à faire vos conserves dans les règles de l’art ! 4 - Comment se soigne l’intoxication alimentaire ? Elle disparaît généralement spontanément au bout de quelques jours. Le malade doit veiller à boire abondamment pour éviter la déshydratation induite par les diarrhées et les vomissements. Dans certains cas, le médecin pourra prescrire des médicaments ayant pour but de ralentir le transit, de diminuer les douleurs abdominales (antispasmodiques) ou les vomissements (anti-nauséeux). Chez les sujets âgés et les jeunes enfants, la déshydratation est la première menace et pourra justifier une hospitalisation. 5 - Comment prévenir l'alimentation alimentaire ? En respectant les règles basiques d’hygiène et de sécurité alimentaire. Il faut se laver les mains avant chaque repas mais également nettoyer régulièrement le réfrigérateur. Les aliments ayant un aspect ou une odeur douteuse ne doivent pas, bien sûr, être ingérés. Une attention toute particulière doit également être apportée à la fraîcheur des œufs, des crustacés et des laitages à base de lait cru.
Toux sèche ou toux grasse, pourquoi toussent-ils ?
De novembre à mars, rhumes, bronchites et grippes se succèdent et personne n’est à l'abri de la toux. Encore moins les enfants qui, dès qu’ils se mettent à tousser, nous mettent en panique. Il tousse, qu’est-ce que je fais ? La toux, comme la fièvre, est un des motifs les plus fréquents de consultation lors des premières années de la vie. C’est un des symptômes qui inquiètent le plus les parents, peut-être parce qu’il annonçait encore, il y a quelques dizaines d’années, le début de maladies relativement graves comme la pneumonie ou la tuberculose… Et pourtant, la toux est un mécanisme naturel, un réflexe dû à l’irritation, par une inflammation ou par des sécrétions, de certaines zones de la gorge, de la trachée, des bronches, ou même des oreilles. La toux n’est pas une maladie en soi, c’est un symptôme. Il faut donc d’abord chercher à traiter la cause de cette toux et non pas celle-ci. La toux, bonne pour la santé ! « Aucun sirop ne sera donné en cas de toux productive aisée et facile », explique le docteur Jean-Louis Dervaux, auteur de Rhumes, angines, bronchites… On se soigne ! « Elle relève tout simplement du traitement de sa cause et donc de l’infection rhino-pharyngée de départ, en plus des différentes manœuvres d’évacuation des sécrétions nasales, pharyngées ou bronchiques. » On évite donc de se jeter sur la première bouteille de sirop dès que nos bambins commencent à tousser un peu… Il est donc conseillé de calmer la toux lorsqu’elle devient vraiment handicapante pour l’enfant. Si elle l’empêche de dormir, si elle est douloureuse ou qu’elle provoque chez l’enfant des vomissements. Du bon usage des sirops pour la toux… - Toux grasse En cas de toux productive, difficile voire laborieuse, on aura recours aux sirops mucolytiques qui vont rendre la toux moins pénible, et plus efficace. Ils permettent de fluidifier et de régulariser le mucus d’une toux vraiment utile. Il n’est donc pas question de chercher à la supprimer à tout prix. En cas de bronchiolite ou de bronchite, des séances de kinésithérapie respiratoire peuvent être bénéfiques chez le nourrisson. - Toux sèche On n’utilisera d’antitussifs (qui ont, eux, ont pour but de couper la toux) qu’avec précaution en cas de toux sèche qui, contrairement à la toux grasse, est néfaste car elle s’auto-entretient. Cet antitussif neutralisera la toux d’irritation. Choisissez un antitussif le plus naturel possible. Sachez toutefois, que selon la très sérieuse revue médicale anglaise Drug & therapeutic bulletin, il n’y a pas d’éléments convaincants qui démontrent que les préparations contre la toux sont plus efficaces que le placebo. Un peu d’eau sucrée pourrait donc soulager la toux, sans contre-indications, avec un effet placebo probant ! Bien sûr, le médecin saura vous éclairer ! À lire Bébé en bonne santé, Philippe Grandsenne,Hachette Pratique.
Rôti de veau à la piacentina
Pour 6 personnes Temps de préparation : 15 mn Temps de cuisson : 120 mn Ingrédients : - 1 kg de rôti de veau sans barde lié avec du romarin - 4 grosses gousses d'ail - 40 gr. de beurre - 3 cuillères à soupe d'huile d'olive - 6 tranches fines de pancetta - 1 cube de bouillon de viande - 2 grands verres de vin blanc sec de bonne qualité (facultatif) Préparation : 1. Faire dorer tout doucement l'ail et la pancetta dans le beurre et l'huile pendant quelques minutes. 2. Ajouter ensuite le rôti et le faire dorer toujours doucement sur toutes les faces, jusqu'à ce qu'il se forme une petite croute. 3. Ajouter le vin blanc progressivement afin de ne pas interrompre la cuisson, puis le cube de bouillon. 4. Couvrir, baisser le feu au minimum et cuire au moins une heure trente en retournant la viande deux ou trois fois pour qu'elle n'attache pas et en décollant le fond à l'aide d'une cuillère en bois. 5. Vers la fin de la cuisson, saler légèrement et poivrer. 6. Lorsque la viande est très tendre, la mettre sur la planche à découper. Couper en tranches fines au couteau électrique et ôter la ficelle et le romarin. 7. Disposer les tranches de rôti sur les assiettes chaudes et arroser de jus. Une recette de FoodAvenue : www.foodavenue.fr FoodAvenue est un portail Internet dédiée la gastronomie et aux arts de la table. Les recettes ont toutes été réalisées et sont souvent illustrées. Vous y trouverez aussi de nombreux restaurants, des bonnes adresses, un lexique complet, des livres, des articles de fond ou encore des reportages.
Depuis qu’elle a été malade, je culpabilise
Je suis maman d’une petite fille de 4 ans qui, à 2 mois, a été hospitalisée pour une infection bronchique. J’étais à la fois très angoissée et culpabilisée. Mon mari et moi avons fait notre possible pour être présents, mais je suis partie du postulat que je ne lui donnais pas assez d’affection. Puis elle a guéri et c’est aujourd’hui une fillette formidable. Mais chaque fois qu’elle s’oppose ou se montre susceptible, je me dis que ça vient de là, qu’elle a souffert et en a gardé des séquelles… Alexia Tout vous montre que votre petite fille va très bien. Elle n’a aucune séquelle de cette hospitalisation. Vous avez été formidable à cette époque, vous et votre mari. La souffrance a été un peu pour votre bébé et beaucoup pour vous. Au point que vous ne vous êtes pas encore pardonné. C’est à cause de cette culpabilité que vous n’osez pas vous fâcher normalement avec votre fille, et non à cause d’une séquelle imaginaire. Vous n’en finissez pas de tenter de vous racheter alors que vous n’avez rien à vous faire pardonner. Votre fille est absolument normale et joyeuse. C’est en vous en persuadant que vous pourrez être la meilleure maman pour elle.
Canard
Il est souvent accompagné d'une sauce aigre douce, le canard est une viande très appréciée. Quels sont les apports nutritionnels du canard ? Quelques informations sur la viande de canard. La partie la plus grasse est située entre la peau et la chair. Elle présente l’avantage d’être facile à enlever après la cuisson, ce qui vous aidera à conserver votre ligne. Si vous décidez de la consommer, sachez que cette partie vous apportera des acides gras polyinsaturés, autrement dit du « bon cholestérol ». De plus, le canard contient davantage de fer que les autres viandes de volailles. Pour une portion de 100 g de canard rôti : 182 kcal, 25 g de protéines et 10 g de lipides. Conservation de la viande de canard Un canard vidé peut être mangé dans les trois jours, s’il ne l’est pas il devra être consommé le plus rapidement possible. Conseil sur le canard Pour bien choisir votre canard : il doit avoir entre 2 et 4 mois pour être appelé ainsi. Sa chair doit être volumineuse et grasse, ses os bien formés. La cane a une chair plus délicate et savoureuse.
Bien Grandir
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SE CONSTRUIRE
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J’ai perdu ma mère pendant ma grossesse…
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S’INSTRUIRE
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S’epanouir
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MIEUX COMPRENDRE
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