Joli ventre : objectif ventre plat
Faire de son ventre un atout séduction, le raffermir pour qu'il retrouve tout son tonus. Coaching en 5 points et quelques abdos pour avoir un joli ventre, un ventre plat. Travaillez vos abdos Allongez-vous sur le dos, les jambes fléchies. Puis, mettez vos jambes à la verticale en angle droit par rapport à votre buste. Plusieurs exercices s’offrent à vous. Dessinez dans l’air le chiffre 8, le symbole mathématique de l’infini, faites basculer vos jambes d’un côté puis d’un autre. Quel que soit le mouvement choisi, faites-le une dizaine de fois. Faites plusieurs séries au cours desquelles vous pouvez alterner les mouvements. Poursuivez vos efforts Toujours allongée sur le dos, les jambes à la verticale. Faites des battements sur le côté avec la jambe droite, une dizaine de fois puis avec la jambe gauche, une dizaine de fois. Faites une deuxième série, cette fois vos jambes feront de petits cercles à droite pour la jambe droite puis à gauche pour la jambe gauche. Enfin, vous pouvez faire une dernière série au cours de laquelle vous écarterez des jambes en V puis refermerez en une dizaine de battements. Attaquez le plus gros Cet exercice exige un certain effort, il est possible que vous n’y parveniez pas dans un premier temps. Toujours allongée sur le dos, vous devez essayer de vos relever en position assise les bras écartés et tendus à l’horizontale. Vous pouvez faire cet exercice une dizaine de fois. S’il est trop difficile, vous pouvez mettre vos mains derrière la tête et la relever de quelques centimètres en une trentaine de battements. Contractez vos obliques Toujours au sol, jambes fléchies et genoux écartés, posez votre cheville droite sur votre genou gauche. Vos mains sont derrière votre tête et vos coudes étirés vers l'arrière. Levez la tête et les épaules et amenez le coude gauche vers le genou droit et le genou droit vers le coude gauche. Faites plusieurs séries de chaque côté. Affinez votre taille Restez toujours confortablement allongés au sol dans la même position, c’est-à-dire mains derrière la tête les coudes à l’extérieur. Basculez votre bassin en contractant vos muscles sur le côté. Vos genoux sont serrés et basculent en même temps que vous inspirez. Revenez à la position initiale en expirant. Faites trois séries d’une dizaine de mouvements de chaque côté.
L’aquarium
Omelette roulée au saumon fumé Ingrédients pour deux personnes : • 3 oeufs • 1 cuillère à café de câpres égouttées, rincées et hachées • 1 cuillère à café de ciboulette ciselée • 1/2 gousse d’ail pilée • 110 g de fromage de chèvre frais • 200 g de saumon fumé en tranches fines 1. Dans un bol, battre les oeufs en omelette. 2. Verser la moitié de la préparation dans une crêpière. Faire cuire la crêpe d’omelette à feu doux de 2 à 3 minutes, puis la retourner sur l’autre face pour qu’elle dore de chaque côté. Répéter l’opération avec le reste de la préparation. 3. Dans un bol, mélanger les câpres, la ciboulette, l’ail et le chèvre de manière à obtenir une crème bien onctueuse. 4. Répartir la moitié du mélange au chèvre sur 1 crêpe refroidie avant d’y déposer la moitié du saumon fumé. 5. Rouler la crêpe bien serré. 6. Répéter ces trois étapes pour l’autre crêpe. 7. Découper chaque crêpe en petits rouleaux, puis disposer dans un bento. Filet de limande au curry Ingrédient pour une personne : • 1 filet de limande-sole • 1 cuillère à soupe de farine mêlée • 1 cuillère à soupe de chapelure • 1 pointe de curry • 20 g de beurre • Huile d’olive • Sel et poivre 1. Sur le plan de travail, saler et poivrer le filet de limande, puis poudrer le dessus d’un mélange de farine, de chapelure et de curry. 2. Dans une poêle, faire chauffer le beurre avec 1 trait d’huile d’olive. Lorsque le tout prend une couleur noisette, y poser le poisson, laisser cuire pendant 1 minute de chaque côté, puis retirer la poêle du feu. 3. Laisser refroidir avant de découper le filet en lanières, puis disposer dans un bento. [caption id="attachment_552" align="aligncenter" width="145"] Mes beaux bentos Auteur : Mélanie Montagné Photographe : Isabelle Schaff Tana Editions Prix : 12€[/caption]
Piques de chevalier
Pour 6 brochettes à la viande : - 250g de viande hachée ( moitié bœuf- moitié porc) - 1 cuillère à soupe de fromage frais aux herbes - 2 cuillères à soupe de chapelure - 1 petit œuf - 1 cuillère à café de sel de mer aux herbes - 1 grosse pincée de poivre - 2 cuillères à soupe de graines de sésame - 1 cuillère à café d’huile de tournesol - 1 concombre pas trop gros - 1 poivron jaune Pour 6 brochettes au fromage : - 1/2 bouquet de basilic - 150g de tomates cerise - 1 paquet de mini-boules de mozzarelle - Poivre, sel Pour la sauce au poivron : - 2 cuillère à soupe d’avjar (purée de poivron en conserve) - 1 cuillère à soupe de crème fleurette Pour la sauce à la moutarde : - 2 1/2 cuillère a soupe de moutarde - 1 1/2 cuillère à soupe de crème liquide Temps de préparation : 45 minutes Matériel particulier : papier absorbant, 12 piques à brochettes en bois Cuisiniers débutants Mélange la viande hachée, le fromage aux herbes, la chapelure, l’œuf, le sel et le poivre. Pétris bien, puis mouille-toi les mains et divise la pâte en 12 petites boules. Verse le sésame dans une assiette, puis roules-y les boulettes. Fais chauffer l’huile dans une poêle et mets les boulettes à revenir sur feu vif. Baisse le feu et laisse-les dorer 10 à 15 minutes en les retournant de temps en temps. Sors les boulettes à l’aide d’une écumoire et laisse-les refroidir sur du papier absorbant. Lave le concombre et le poivron. Ôte les bouts du concombre et coupe-le en rondelles de 1 cm d’épaisseur. Coupe le poivron en quatre, ôte les grains et les peaux blanches, puis détaille-le en carrés. Prépare 6 brochettes en piquant 1 boulette de viande, 1 rondelle de concombre et 1 carré de poivron, etc. Effeuille le basilic. Lave les tomates. Pique 1 feuille de basilic, 1 tomate, 1 boule de mozzarelle, etc. sur chacune des 6 autres brochettes. Saupoudre le tout d’un peu de sel et de poivre. Dans un ravier, mélange l’avjar et la crème fleurette. Dans un autre ravier, mélange la moutarde et la crème liquide. Accompagne chaque brochette avec la sauce que tu préfères. [caption id="attachment_1334" align="aligncenter" width="145"] Je cuisine avec mon enfant, Editions Solar Traduction : Véronique Cebal Adaptation et réalisation : Marie Vendittelli-Latombe – Looping Photographie couverture : Jean Bono[/caption]
Quatrième mois de grossesse
La grossesse, bien entamée, commence à être visible. Au quatrième mois de grossesse, le petit minois de bébé commence à être distinct, il s'affine. Ses membres se développent encore un peu plus. A quel stade en est le fœtus dans le ventre d'une femme enceinte qui entame son quatrième mois de grossesse ? 4ème mois de grossesse : Développement de bébé : Le fœtus commence à redresser son buste et paraît mieux proportionné. Pendant ces quatre semaines, il passe de 12 à 17,5 cm. On reconnaît de plus en plus le futur bébé, ses traits étant déjà bien dessinés. Un fin duvet recouvre son corps et il a déjà quelques cheveux. Des expressions sont visibles même si le futur bébé ne les contrôle pas vraiment pour le moment. Ses oreilles sont formées, il perçoit certains sons extérieurs. Sa rétine est sensible à la lumière. Son sens du toucher se développe aussi et en dehors de son dos et du sommet de son crâne, le corps est sensible. Grâce au développement du cervelet, les connexions sont de plus en plus nombreuses et bébé commence à vraiment s’agiter ! À l’échographie, il gigote, on le voit parfois sucer son pouce. Ses poumons ne fonctionnent pas encore, mais on perçoit des mouvements de respiration lorsqu’en une sorte d’entraînement, la poitrine se gonfle puis expulse le liquide amniotique. 4ème mois de grossesse : Santé de la maman : Les malaises du début s’évanouissent. L’utérus grossit, atteignant la taille d’un melon, ce qui peut provoquer des tiraillements sur les côtés du bas-ventre. L’utérus empiète sur les intestins, ce qui peut provoquer des petits problèmes de transit : constipation ou remontées gastriques par exemple.Des problèmes de circulation sanguine ne sont pas rares et peuvent rendre les jambes lourdes. Cela est lié à l’importante production de sang dont a besoin le fœtus pour bien se développer. 4ème mois de grossesse : Connaître le sexe de l’enfant ? C’est souvent à ce stade que l’on apprend le sexe de son futur bébé, étape très importante de la grossesse. La relation change, on prête une identité beaucoup plus définie au fœtus et la relation triangulaire avec le père commence d’ores et déjà à s’installer ! 4ème mois de grossesse : Conseils santé :Pour améliorer le transit intestinal, renforcer son alimentation en fibres : céréales, fruits, légumes, lait… Pour lutter contre l’anémie, fréquente à ce stade de la grossesse, une alimentation riche en fer suffit. Certes les épinards ne sont pas dénués de fer, mais d’autres aliments sont plus riches : lentilles, viande rouge, coquillages… Les jambes lourdes quant à elles peuvent être soulagées en surélevant ses pieds, surtout la nuit et avec des jets d’eau froide sur les jambes. Penser à un.
Contraception : la cape cervicale
La cape cervicale est un contraceptif, en forme de coupole, qui s’applique au col de l’utérus pour faire blocage aux spermatozoïdes. Quels sont les avantages de la cape cervicale ? Y a-t-il des contre indications ? Explications sur la cape cervicale. Principe de la cape cervicale En forme de coupole, la cape cervicale agit comme un bouchon, collé à l’utérus par un effet de succion. C’est un médecin gynécologue qui peut prescrire cette contraception après avoir défini la taille qui convient. Pour que la cape s’adapte bien, il est recommandé de l’installer environ trente minutes avant un rapport afin que la succion puisse avoir lieu. Après un rapport, il faut la garder pendant au moins huit heures et pas plus de vingt-quatre heures. Comme le diaphragme, il faut bien l’entretenir en la lavant à l’eau tiède. Au moindre doute quant à son état, il faut en changer. En moyenne, une cape peut être efficace pendant deux ans. Il est plus prudent d’ajouter une noisette de crème spermicide dans la partie creuse de la cape. Les avantages de la cape cervicale Cette protection est confortable ; bien installée, on ne doit pas la sentir. Elle n’a aucune conséquence sur les hormones et peut être utilisée en période d’allaitement. Comme le diaphragme, c’est un moyen de contraception peu onéreux car il dure longtemps et il est, par ailleurs, totalement réversible. Les inconvénients de la cape cervicale Il faut s’habituer aux manipulations vaginales pour que la cape soit bien installée. Sans spermicide, cette contraception est loin d’être sûre. De plus, il arrive qu’une odeur désagréable s’en dégage à cause des sécrétions vaginales qui se sont imprégnées au latex de la cape. La cape cervicale est également moins efficace pour les femmes ayant déjà eu des enfants puisqu’elle couvre moins bien le col de l’utérus. Contre-indications de la cape cervicale Cette méthode ne peut pas être prescrite aux femmes ayant une malformation de l’utérus, qui viennent d’accoucher, qui ont une prédisposition aux infections du col. Il est évident qu’on n’utilisera pas ce moyen de contraception si l’on est allergique au latex. Fiabilité de la cape cervicale Le taux d’efficacité varie beaucoup d’une femme à l’autre. Il sera plus utile à une femme qui n’a pas eu d’enfant et dont le col de l’utérus est plus étroit. D’une manière générale, ce moyen de contraception n’est pas très fiable si on l’utilise de manière régulière. On le situe entre 80 % d’efficacité pour une femme qui n’a jamais accouché, et 60 % dans le cas contraire. C’est pourquoi il est si souvent conseillé d’allier la cape cervicale à un spermicide pour atteindre un taux d’efficacité réellement important.
Elle se masturbe à 2 ans
Une amie a une fille de 2 ans et demi qui se masturbe et elle ne sait pas comment réagir. En effet avant cela ne se passait qu’à la maison mais maintenant elle le fait à la crèche. Je voudrais savoir que dire à mon amie et surtout ce qu’elle pourrait mettre en place pour sa fille. Véronique Il n’est pas rare qu’un enfant de l’âge de cette petite fille se masturbe. L’enfant, curieux, explore son corps et il découvre vite que ces caresses lui procurent un plaisir tout particulier. Si bien qu’il recommence. Ce comportement est normal, tout comme ne pas se masturber. Même si ce comportement gêne les adultes présents, il est souhaitable qu’ils ne réagissent pas avec excès, en faisant honte ou en ridiculisant l’enfant. Conseillez à votre amie d’en parler avec sa fille : il faut lui expliquer qu’elle ne peut faire cela que lorsqu’elle est seule, de préférence dans sa chambre, car cela relève de l’intimité. À d’autres moments, on peut l’inciter à cesser sa pratique en l’attirant dans une activité ludique, par exemple. Il faudrait s’inquiéter davantage et je conseillerais à votre amie de consulter une psychologue, si ces moments de masturbation devenaient fréquents (plusieurs fois par jour), s’ils prenaient une place telle que l’enfant délaisse ses activités normales et si cette activité était si importante pour l’enfant qu’elle refuse de s’en laisser distraire par une conversation ou un jeu. Anne Bacus
Mais pourquoi mon ado fait-il sa crise ?
Peu d’ados échappent au besoin de rébellion. Celui-ci se manifeste souvent par une crise. Certains ne supportent pas la moindre contrariété, ne savent prendre la parole qu’en agressant. D’autres ados, plus « dociles », alternent leur crise entre manifestation de rejet et élans de tendresse. Quelques clés pour comprendre les raison de ces crises d'ado. Le psychologue Henry Pfyser explique que le besoin de s’opposer dépend généralement du contexte familial dans lequel évolue l’adolescent. Si celui-ci est issu d’une famille où les notions d’autonomie et d’indépendance ont toujours tenu un rôle important, ses besoins de rébellion et d’individualisation seront généralement très vite assouvis. En revanche, dans les familles où les parents ont perpétuellement décidé de tout pour l’enfant, sans jamais le laisser s’initier seul à la vie, les choses peuvent rapidement se compliquer. Une crise d'ado pour s'émanciper Dans tous les cas, les psychologues s’accordent souvent à considérer l’état « d’opposition » à l’adolescence comme essentiel, nécessaire, voire salutaire. Pourquoi ? « Parce qu’en s’opposant, nous explique Léa, maman de Jérémy, 14 ans, un jeune apprend à digérer les codes parentaux et comprend soudainement qu’il lui est possible de dire non. Par ce comportement d’émancipation, il affûte son caractère et se crée de véritables armes pour l’avenir. » « Cela dit, nuance le psychiatre Paul Ducoeur, tous les adolescents ne s’opposent pas pour s’affirmer. Certains n’en éprouvent nullement le besoin. D’autres sont confrontés à une résistance parentale tellement forte qu’ils refoulent leur envie de révolte et se plient aux règles sans broncher. » La crise et les conflits non résolus Selon le psychanalyste Pierre Prélot, un adolescent qui ne trouve pas la possibilité d’exprimer ses colères, ses pulsions, à l’intérieur de sa famille, risquera de les exprimer, de façon décuplée, à l’extérieur – au sein de l’école, par exemple. Sinon, il les gardera en lui comme autant de conflits non résolus, qui pourront venir tantôt ébranler son estime de soi (je n’ai jamais su dire non, je suis nul), tantôt altérer les relations avec son père ou sa mère (mes parents ont été durs avec moi. Ils ne m’ont jamais vraiment écouté ni compris). Opposition et communication au coeur de la crise Reste tout de même que pour un parent, il n’est jamais facile de vivre positivement le comportement opposant de son adolescent. « Ce qui, au fond, paraît logique, vitupère Liliane, maman de Sandrine. Entrer dans des rapports de force avec son enfant, le voir tordre le cou à des valeurs que l’on supposait immuables ou inébranlables, est toujours douloureux. » Mais il semble malgré tout possible de transformer cette douleur en un sentiment tolérable, voire constructif. Comment ? « En gardant à l’esprit ces trois pistes de réflexion, répond Pierre Prélot. D’abord, l’opposition ne dure qu’un temps, celui de l’adolescence. Ensuite, elle ne doit pas être perçue comme une attaque gratuite ou personnelle, mais comme l’expression d’un désir d’émancipation nécessaire à la construction de soi. Enfin, elle ne devient réellement nuisible qu’à partir du moment où elle se transforme en rapports de forces physiques. » Autrement dit, tant qu’elle se maintient dans un espace verbal, propice à la communication, à l’échange ou à la confrontation d’idées, l’opposition peut être saine pour tout le monde. Elle permet aux parents de se questionner sur ce qu’ils sont, sur ce qu’ils devraient être. Elle interroge leur système de valeurs et d’autorité. Elle apprend aux adolescents à s’émanciper pas à pas. Elle leur offre la possibilité de formuler le sentiment de leur propre liberté et de s’écrier : « Papa, maman, voici ce que j’étais hier, voici ce que je pense aujourd’hui, et voilà ce que je serai, peut-être, demain… » À lire Votre ado, Marcel Rufo, Christine Schilte, Marabout, 6,90 € Les nouveaux ados, comment vivre avec ?,Collectif, Bayard culture, 14,50 €.
Risotto au citron et au gorgonzola
Ingrédients : - 225g de riz rond (si possible « spécial rizotto », dans les épiceries italiennes) - 50g de beurre - 1 gousse d’ail - 1 oignon - 1 citron - 1 cube de bouillon de légumes - 100g de gorgonzola au mascarpone Dans une casserole, faire revenir dans du beurre l’ail et l’oignon, après les avoir hachés très fin. Prélevez le zeste du citron et en presser le jus. Les verser dans la casserole, ainsi que le riz. Bien mélanger, jusqu’à ce que le grain soit translucide. Couvrir d’eau et ajouter le cube de bouillon. Cuire à feu doux pendant 20 minutes, tout en ajoutant de l’eau au fur et à mesure que le riz l’absorbe (environ 2 heures). Trois minutes avant la fin de la cuisson, ajouter le gorgonzola au mascarpone. Bien remuer et faire fondre. NB : si le résultat est un peu trop compact, ou pour revoir la texture, rajouter du jus de citron. [caption id="attachment_1268" align="aligncenter" width="145"] Petits plats gourmands pour mamans au bord de la crise de nerfs. 50 recettes zéro stress qui marchent vraiment avec les enfants. Collection Grain de Sel Tana Editions Textes: Aimée Langrée et Stéphanie de Turckheim Photographies : Raphaële Vidaling.[/caption]
La thérapie génique
La thérapie génique va-t-elle bientôt guérir le cancer, le sida, la mucovisidose… ? La technique de la thérapie génique, porteuse de nombreuses perspectives médicales a donné pour l’heure peu de résultats. Peut-on malgré cela considérer la thérapie génique comme une thérapie d'avenir ? On soigne habituellement une maladie par un médicament. On absorbe une substance chimique qui en se répandant dans le corps va guérir l'affection. Dans le cadre de la thérapie génique, c'est un gène introduit dans le corps qui doit corriger une fonction défaillante ou manquante de l'organisme. Cette thérapeutique, découverte en 1960, part donc du gène. Elle consiste à corriger un gène malade en transférant un gène normal qui va le remplacer. Le gène peut également avoir pour fonction de renforcer un gène fragile. Mais comment introduit-on un gène dans l'organisme ? Il est difficile de l'injecter directement. Or, les virus infectent facilement le corps. En y introduisant un gène on le transmet alors très facilement par voie virale. Le problème, c'est que les virus, bien qu’ils soient rendus inoffensifs avant la manipulation, peuvent déclencher des réactions inflammatoires encore difficiles à maîtriser. D'autres pistes sont explorées, comme l'introduction du gène suite à un choc électrique. Les espoirs de la thérapie génique Initialement conçue pour traiter les maladies héréditaires, la thérapie génique est aujourd'hui expérimentée dans des affections du système nerveux comme la maladie de Parkinson ou d'Alzheimer, les troubles cardiaques, le traitement du diabète, du cancer... En fait, presque toutes les maladies pourraient être concernées par cette nouvelle thérapeutique. En pratique 60 % des travaux de thérapie génique cherchent à soigner le cancer.
Décoder ses pleurs pour sécher ses larmes
Votre bébé n’a de cesse de pleurer ? Normal. Ses pleurs constituent son premier langage avec papa et maman. Comment reconnaître le sens de ses pleurs? Les pleurs à la naissance Mais pourquoi les bébés naissent-ils en pleurant ? Est-ce parce qu’ils sont déboussolés par ce nouveau monde qu’ils découvrent soudain ? Parce qu’ils ont faim ? Parce qu’ils ont soif ? Réponse du pédiatre Roger Morel : « Les premiers cris du nourrisson correspondent à une réaction vitale. À travers eux, bébé met en marche son appareil respiratoire et cardiaque au contact de l’air ». Pleurs de nuits En réalité, les trois premiers mois, les pleurs de bébé varient sur une gamme d’affects surtout limitée à la faim. Son organisme doit être nourri en moyenne toutes les trois heures. Et ceci, de jour comme de nuit. Du reste, la nuit, son horloge biologique est programmée pour des temps de sommeil de moins d’une heure, qu’il soit nourri au biberon ou au sein. Aussi, le meilleur moyen pour qu’il retrouve le sommeil est de lui donner la tétée. Rassasié, il se rendormira sur-le-champ. « De toute façon, à cet âge, précise le pédopsychiatre Marcel Rufo, laisser un bébé pleurer sans le réconfort d’un adulte est dommageable, tant pour lui que pour ses parents. Ne pas venir le consoler, c’est risquer d’installer en lui un trouble psychologique du sommeil. En grandissant, il ne pleurera plus de faim mais de peur, perturbant pour de longs mois les nuits de sa famille. » Colères et crises de pleurs Quoi qu’il en soit, rares sont les parents qui supportent d’entendre leur enfant pleurer. Tous ou presque sont soucieux de comprendre les besoins, les désirs de leur petit. Véritable pré-langage qu’il convient d’apprendre à déchiffrer. Car, passé l’âge de 3 mois, les pleurs de bébé ne sont plus seulement motivés par la faim. Désormais, ses cris peuvent exprimer la colère (cris aigus), la douleur (cris puissants et entrecoupés), la fatigue (plaintes) et la peur (cris d’appel marqués par de courts silences pour évaluer leur efficacité). Pour calmer chacun de ces cris, les psys conseillent de prendre bébé dans les bras ou alors de se pencher au-dessus de son berceau et de lui parler. Peur et pleurs Michel Le Goff, docteur en psychologie et spécialiste du développement psychomoteur de l’enfant, affirme toutefois qu’entre 4 et 6 mois, un nourrisson entre généralement dans une phase « sacrée ». « Il pleure moins, s’énerve moins et commence enfin à apprécier les temps de silence en solitaire. » Reste tout de même qu’à cet âge, certaines situations ou expériences mettent toujours ses nerfs en pelote. Parmi celles-ci : la toilette. « Au début, le simple fait d’être dévêtu, observe M. Le Goff, engendre en lui un sentiment de colère et de panique. En perdant ses vêtements, bébé a l’impression qu’on lui vole ce qui l’entoure. Pour se protéger, il active ce que l’on nomme le réflexe de Moro : il ouvre les poings, rabat ses bras contre sa poitrine et fond en larmes. » Bien entendu, quelques gestes doux suffisent à le rassurer. Les pleurs à la séparation À partir de 6 mois, les pleurs d’un enfant commencent à s’affiner. Réfléchis, intentionnels, ils sont motivés par tout un tas d’émotions et de sensations, qu’il exprime de plus en plus clairement. Les séparations d’avec maman deviennent, de ce fait, de plus en plus difficiles. Pourquoi ? « Parce qu’entre 6 et 9 mois, analyse le pédiatre Roger Morel, un enfant commence à avoir une conscience très claire de ses parents. Il suffit que maman parte une heure, pour que cela perturbe son sentiment de sécurité. » De la même manière, quand une personne étrangère tente de le garder, il projette sur elle son angoisse de la séparation et la rejette un temps. Raison pour laquelle, avant de faire garder son enfant toute une journée par une nourrice, il est indispensable d’effectuer avec lui quelques visites préalables. À lire Bébé pleure, Marcel Rufo et Christine Schilte, Hachette Pratique, 9,50 €. Bébé pleure, que faire ? Anne Bacus, Marabout.13 €.
Bien Grandir
-
1 commentaire
SE NOURRIR
-
1 commentaire
SE CONSTRUIRE
-
J’ai du mal à gérer mes petites-filles
1 commentaire
S’INSTRUIRE
-
Leur donner le goût des livres
1 commentaire
S’epanouir
-
Concilier vie privée et vie professionnelle
1 commentaire
MIEUX COMPRENDRE
-
1 commentaire