365 histoires du Marchand de sable
Un recueil d'histoires pour assurer, chaque soir de l'année, de beaux rêves à ses enfants. 365 histoires du Marchand de sable est un recueil où se mêlent la rêverie, la surprise et la tendresse. Au fil des histoires, vous entrerez dans l'univers magique du lutin du vent et de ses amis et parcourrez des mondes imaginaires, peuplés de personnages tantôt féeriques ou loufoques. Ce livre, des éditions Gründ, plein de gaieté où l'on retrouve humour et poésie enchantera petits et grands. Avant d'aller dormir vos enfants seront heureux de l'histoire du soir que vous prendrez plaisir à leur raconter. À noter : 365 histoires du Marchand de sable, éditions Gründ, 12,95 € .
Crumble aux quetsches et aux pommes
Pour 8 personnes Temps de préparation : 40 mn Temps de cuisson : 30 mn Ingrédients : - 1kg de quetsches - 4 pommes - 150g de versoise blonde ou brune - 75g de poudre d'amande - 150g de beurre mou - 200g de farine Préparation : 1. Environ 1/2 heure avant de commencer la préparation, sortez le beurre du réfrigérateur. 2. Préchauffez votre four thermostat 6 3. Pelez les pommes et coupez les en cubes, dénoyautez les quetsches si elles sont fraîches. 4. Faites fondre du beurre et un peu de sucre dans la sauteuse. Quand le mélange est caramélisé, faites-y revenir les fruits environ 20mn, vous devez obtenir une compotée (cela permet de caraméliser et d'assécher les fruits mais cette étape n'est pas obligatoire). 5. Mélangez la farine, la vergeoise puis la poudre d'amande. Travaillez ensuite le mélange avec le beurre, du bout des doigts, pour obtenir une pâte sableuse avec des petits grumeaux. 6. Versez les fruits dans le plat et étalez la pâte au dessus. 7. Cuire environ 30mn et servir tiède avec une boule de glace à la vanille ou de la crème fouettée. Une recette de FoodAvenue : www.foodavenue.fr FoodAvenue est un portail Internet dédiée la gastronomie et aux arts de la table. Les recettes ont toutes été réalisées et sont souvent illustrées. Vous y trouverez aussi de nombreux restaurants, des bonnes adresses, un lexique complet, des livres, des articles de fond ou encore des reportages.
Un bébé à quel prix ?
Une des solutions au problème de l'infertilité est la stimulation hormonale. Les traitements hormonaux et les échecs successifs sont un lourd tribut à payer pour des résultats qui restent malgré tout modestes. Quelques informations sur la stimulation hormonale. Les risques des stimulations hormonales La stimulation hormonale est un traitement lourd. Les injections ont lieu tous les jours et souvent à haute dose. Ses incidences sur le corps sont manifestes. Les risques les plus graves sont l’hyperstimulation et les grossesses multiples. Certaines études évoquent en outre un risque accru de cancers gynécologiques chez ces femmes. Les effets secondaires sont nombreux et de gravité variable : risques de thrombose, douleurs abdominales, bouffées de chaleur, maux de tête, modification de la libido, irritabilité, prise de poids… Ces manifestations viennent s’ajouter et alimenter un état psychologique fragilisé. Les difficultés psychologiques Le combat contre l’infertilité est généralement long et pénible. L’homme vit parfois mal le recueil de sperme qui a lieu par masturbation dans une salle d’hôpital. Certains sont d’autant plus affectés que pour eux l’infertilité est une atteinte à leur virilité. Cette idée a parfois la dent dure ! La femme doit jongler avec son emploi du temps pour les injections, les prises de sang, les échographies. Elle souffre dans son corps et dans sa tête. Sa vie est suspendue, en attente… Chaque cycle voit passer l’espoir puis le désespoir. Les projets puis le vide. Pour certains, le sexe sur ordonnance a fait place à l’absence de sexe. La sexualité leur paraît inutile car non procréatrice. L’insuffisance, voire l’absence d’aide psychologique n’arrange rien. L’homme se réfugie souvent dans le silence alors que la femme ne peut parler d’autre chose.
Épilepsie
L’épilepsie est maladie chronique du système nerveux. Elle est le résultat d’un dérèglement passager de l’activité électrique du cerveau. Symptômes La crise d’épilepsie se caractérise par une perte de conscience accompagnée de mouvements musculaires anormaux comme des convulsions ou des trémulations. Elle peut durer de quelques secondes à quelques minutes. Traitement Il existe plusieurs types d’épilepsies aux conséquences différentes. La majorité des enfants atteints, réagissant bien au traitement médicamenteux, peuvent envisager de l’arrêter au bout de quelques années. D’autres ont impérativement besoin d' antiépileptiques pour contenir les crises et les rechutes, malgré tout, ils mènent une vie tout à fait normale. Dans les cas les plus graves, les médicaments n’ont pas d’effets et la maladie peut devenir un handicap socio-professionnel important.
Coloriez le Père-Noël !
Vos petits aiment colorier ? PsychoEnfants vous propose quelques coloriages pour les enfants. Des dessins à colorier hauts en couleurs dans l'esprit de Noël. Télécharger et imprimer les dessins à colorier ou à peindre. www.jedessine.com.
Mon fils a 149 de QI
Mon fils de 4 ans et demi a été testé à 149 de QI par une psychologue qui du coup nous a conseillé de lui faire sauter une classe. Mais sa maîtresse, elle, nous l’a fortement déconseillé. Pourtant, il sait lire quasiment tous les sons, écrit en phonétique, calcule, s’intéresse à tout ce qui l’entoure. C’est un enfant enjoué, mais petit et hypersensible. La question aujourd’hui est celle du passage anticipé au CP. Il est désireux d’apprendre. Que nous conseillez-vous ? Marion La décision du saut de classe dépend de plusieurs éléments. L’un est effectivement le quotient intellectuel, qui détermine l’âge mental de l’enfant. Le vôtre, à 4 ans, a l’âge mental d’un enfant de 6 ans. Tout ce que vous décrivez est cohérent : il ne devrait avoir aucun problème, sur le plan des capacités intellectuelles, à suivre en CP. Un autre élément est la maturité affective de l’enfant, sa motivation, sa sociabilisation, son autonomie. Tout cela peut être apprécié par la psychologue : ce qu’elle a sans doute fait avant de vous conseiller le saut de classe. Pourquoi ne pas suivre ses recommandations ? Quels ont été les arguments de l’institutrice pour le déconseiller ? Sont-ils toujours valables? S’il lit déjà, votre fils ne va-t-il pas trouver long de passer encore un an à la maternelle ? Vous allez devoir peser le pour et le contre. Quelle que soit votre décision, l’essentiel sera d’être aux côtés de votre enfant et de l’accompagner dans sa grande curiosité de tout ce qui l’entoure.
La grippe A : réponses à vos questions posées dans le forum sur la grippe A
Les forums sur la grippe A sont très actifs. Il faut dire que la grippe A suscite beaucoup d'inquiétudes et d'interrogations. Nous avons sélectionné quelques-unes de vos questions sur la grippe A afin d'y répondre concrètement. Quels sont les symptômes de la grippe A ? Les symptômes de la grippe A sont les mêmes que ceux de la grippe saisonnière. Et en période d'épidémie de grippe A, en cas de symptômes grippaux, la probabilité est en faveur d'une grippe A. Ils sont aisément reconnaissables par leur intensité et leur soudaineté : fièvre élevée (au-dessus de 38°C), fatigue importante, voire extrême, toux sèche, maux de gorge, maux de tête, courbatures, nausées… Enceinte d'un mois et grippée, le docteur ne m'a donné que du Doliprane et de l'homéopathie. Pas d'examens complémentaires, ni de prise de sang. N'est-ce pas un peu léger ? La recommandation du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) est de vous diriger vers une consultation hospitalière dédiée. Vous y serez sans doute mise sous traitement, dans les 24 heures suivant les premiers symptômes, au plus tard dans les 48 heures. Une hospitalisation pourra aussi être envisagée si vous présentez d'autres facteurs de risque : asthme, maladie cardiovasculaire, obésité, troubles rénaux, diabète, déficit immunitaire… Qu'en est-il de la contamination avec les animaux ? Y a-t-il un risque que les animaux attrapent la grippe A ? Le risque existe, mais le passage inter-espèces reste exceptionnel. Il n'y a pas de mesure spéciale pour les animaux de compagnie. Qu'est-il prévu concernant la prévention des enfants en bas âge ? La vaccination des enfants est recommandée à partir de 6 mois. Et en cas de signes de grippe avant l'âge de 6 mois, on recommande la prescription d'un antiviral dans les 12 heures. Pour ce qui est de l'asthme, pensez-vous qu'il faut commencer une cure anti-inflammatoire préventive en inhalation ? Non. Il faut être vigilant sur les mesures barrières (éviter les contacts, se laver les mains…) et consulter dès les premiers signes. Je suis très inquiète pour mon fils de 13 ans, trisomique, qui a contracté 3 pneumonies. Pensez-vous qu'il soit plus fragile à l'encontre de ce virus ? Il fait partie des personnes à risque à traiter avec des antiviraux en cas de symptômes de la grippe et à vacciner dès que possible. Dr Philippe Presles pour notre site partenaire e-sante.
Dans la cour de mon école
Dans la cour de mon école est un livre écrit par Sylvain Victor et édité par Thierry Magnier. Un livre à lire en pile ou face, pour découvrir la cour de récré de l'école de Manu et Mona. Idyllique ou drôle, a chacun sa manière de voir l'école... A l’école, tout le monde a eu pour camarade le grand farceur, la douce rêveuse ou bien le petit diable. Dans ce livre, Sylvain Victor les dépeint de façon amusante et surtout ludique grâce à un système de double lecture. D’un côté on retrouve Manu et ses descriptions vives et drôles. Puis, en retournant le livre on découvre l’univers de Mona et ses copines. Nos deux écoliers se retrouvent au centre du livre pour s’échanger des mots doux. Entre écriture naïve et dessins d’enfants, partez à la rencontre de Manu, Mona et les autres dans une cour de récré (pas) comme les autres. Auteur : Sylvain Victor Éditeur : Thierry Magnier Prix : 13,30€ Age : dès 5 ans.
Arrêter de fumer : vrai-faux sur le sevrage tabagique
Vous connaissez déjà de nombreuses astuces pour arrêter de fumer. Mais entre vraies méthodes et faux conseils, vous êtes un peu perdu. Démêlez le vrai du faux sur le sevrage tabagique et dites un non définitif au tabac. Les psychothérapies aident à arrêter de fumer. Vrai. Les thérapies comportementales sont efficaces dans la prise en charge et l’aide à l'arrêt du tabagisme. Elles renforcent le maintien d'une abstinence, passée la phase de sevrage proprement dite. Elles doivent toutefois être associées à l’usage de médicaments de sevrage. Les prises en charge courtes sont inefficaces. Faux. L'accompagnement quel qu'il soit une efficacité démontrée. Se faire aider d'un ami, d'un parent, d'un médecin ou d'un tabacologue, pendant cinq jours, un mois ou un an augmente nettement les chances de réussite. Changer d'habitudes de vie facilite le sevrage. Vrai. Même chez l'animal, le sevrage se fait plus facilement si on change la cage de pièce. Créer une rupture favorise de nouvelles habitudes de vie. Certains grands changements, comme un déménagement, une séparation, une promotion, sont le cadre idéal d'arrêt du tabagisme.
Alimentation : il ne veut pas manger !
Quand bébé ne veut pas manger, c'est un véritable calvaire pour les parents. Faut-il le contraindre à manger ? Faut-il s’inquiéter s'il boude le biberon et refuse de manger ? Réponses d’Edwige Antier, pédiatre. PsychoEnfants : Pourquoi refuse-t-il de manger ? Edwige Antier : C’est au médecin d’apprécier la situation et de déterminer s’il s’agit d’un refus aigu ou chronique. Dans le premier cas, ce refus peut intervenir de manière soudaine suite à un changement d’alimentation trop brutal. Dans le second cas, chronique, cela concerne les bébés déjà menus, de petite constitution, qui n’ont pas de gros besoins alimentaires. PE : Doit-on obliger le bébé à manger ? E.A : Non, il ne faut pas créer un blocage qui pourrait l’angoisser. Il faut d’abord chercher la cause puis contourner ce refus en lui proposant des choses qu’il aime. Et, enfin, il est bon de savoir que l’appétit d’un enfant ne se mesure pas sur une journée au cours de laquelle il est peut-être fatigué ou n’aime pas un aliment prévu au repas, mais sur une semaine. PE : À partir de quand faut-il s’inquiéter de son refus de manger ? E.A : Dans le carnet de santé, il y a une courbe de croissance très bien réalisée. Il suffit de reporter dessus régulièrement la taille et le poids de votre enfant en fonction de son âge. Si cette courbe stagne, il faut consulter. PE : Comment doit-on réagir face au refus de manger ? E.A : Il faut revenir à une alimentation connue pour constater s’il s’agit ou non d’un simple refus de goûter le nouvel aliment, puis vérifier la température du bébé, voir s’il se plaint, si d’autres symptômes se manifestent et puis lui donner un biberon de lait très complet, un lait de croissance pour pallier son manque d’appétit. Il est rare qu’un bébé refuse de boire. À lire Mon bébé mange bien, éditions Jacob-Duvernet Élever mon enfant aujourd’hui, éditions Robert Laffont.
SE NOURRIR
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Il aime grignoter pendant la journée
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SE CONSTRUIRE
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S’INSTRUIRE
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S’epanouir
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MIEUX COMPRENDRE
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